Quand la taxe d’habitation sera en ligne ?

Les doutes ont été levés. Après quelques hésitations, le ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance a assuré Bruno Le Maire que l’abolition totale de la taxe sur le logement ne serait pas reportée, lundi 20 juillet BFMTV. D’ici 2023, même les 20 % les plus riches des ménages ne paieront plus cette taxe.
« Nous l’enlevons complètement, nous l’enlevons sans toucher le calendrier », dit-il. Le patron de Bercy a dit que « ces 20% ne sont pas les plus prospères, ils sont la classe moyenne. Ce sont des travailleurs qui paient beaucoup d’impôts. Et leur demander d’attendre un peu plus, ce ne serait ni juste ni efficace ». Ainsi, « par souci de lisibilité et de justice envers la classe moyenne », il a été décidé, avec le Président et le Premier Ministre, de maintenir le calendrier initial pour l’abolition de la taxe sur le logement.
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« Changement au mieux d’un an
» A l’occasion de son discours du 14 juillet, Emmanuel Macron a annoncé que l’abolition de la taxe sur le logement pour les riches peut être reportée 20% en raison de la crise sanitaire et économique du coronavirus. Il voyait un tel retard comme un levier pour compenser l’explosion des dépenses gouvernementales. Selon Bruno Le Maire, cette « option », ouverte par le Président, a fait l’objet d’une enquête approfondie. « Nous avons vu que, au mieux, nous pourrions modifier le contenu pendant un an si nous suivons la jurisprudence du Conseil constitutionnel », ajoute le ministre.
Pour lire Suppression de l’impôt sur le logement, baisse de l’impôt sur le revenu Gagnants et perdants dans le budget 2020 Vendredi 17 juillet, dans la soirée, le Premier ministre a expliqué que le calendrier de l’abolition de la taxe sur le logement était maintenu. Même pour les 20% les plus riches. Jean Castex, cependant, a déclaré : « Nous nous adapterons à l’évolution des circonstances ». Ce qui permet alors float annuler.
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discours du 14 juillet, Emmanuel Macron a annoncé que l’abolition de la taxe sur le logement pour les riches peut être reportée 20% en raison de la crise sanitaire et économique du coronavirus. Il voyait un tel retard comme un levier pour compenser l’explosion des dépenses gouvernementales. Selon Bruno Le Maire, cette « option », ouverte par le Président, a fait l’objet d’une enquête approfondie. « Nous avons vu que, au mieux, nous pourrions modifier le contenu pendant un an si nous suivons la jurisprudence du Conseil constitutionnel », ajoute le ministre.
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Vendredi 17 juillet, dans la soirée, le Premier ministre a expliqué que le calendrier de l’abolition de la taxe sur le logement était maintenu. Même pour les 20% les plus riches. Jean Castex, cependant, a déclaré : « Nous nous adapterons à l’évolution des circonstances ». Ce qui permet alors float annuler.